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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 02:15
Malheureusement, la psychiatrie tue
Il n’y a aucun doute que la façon dont nous utilisons actuellement des médicaments utilisés en psychiatrie fait beaucoup plus de mal que de bien. Les médicaments utilisés en psychiatrie sont tellement nocifs qu’elles tuent plus d’un demi-million de personnes chaque année parmi les 65 ans et plus aux États-Unis et en Europe. Ce qui rend les drogues psychiatriques la troisième cause de mortalité, après les maladies cardiaques et le cancer. Nous pourrions réduire notre consommation actuelle de médicaments psychotropes de 98 % et en même temps améliorer la survie et la santé mentale de la population. Il n’y a rien de patients psychiatriques craignent plus de traitement forcé, et il s’agit de des principales raisons pourquoi avoir un contact étroit avec le système de traitement psychiatrique nettement augmente des suicides. Selon une convention des Nations Unies, traitement forcé constitue une violation des droits de l’homme et doit être interdit, et les données empiriques ont montré qu’une psychiatrie sans traitement forcé est possible.
 
un livre de gwen Olsen : Lorsque vous vous rendez compte ce qui est vendu à vous comme un «remède» vous vous rendrez compte que vous jouez à la roulette russe
 
50.000 inutiles suicides attribués au seule Prozac.
 
Le principal problème de la drogue aux États-Unis aujourd'hui n'est pas l'utilisation de drogues illicites mais l'utilisation de drogues légales.
 
« La personne qui a le plus de probabilité de vous tuer n'est pas un parent ou un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui risque le plus probablement de vous tuer est votre docteur." Ce livre te montrera comment se
 
Le rôle des médicaments psychiatriques dans les affaires de violences, suicides et meurtres
 
Drug-Induced démentia : a perfect crime (les médicaments qui induisent la démence : un crime parfait)
Repenser les drogues psychiatriques: Un guide pour le consentement éclairé, a souligné le besoin urgent pour les sociétés et les systèmes de soins de santé à reconnaître la nocivité inutile de médicaments psychiatriques, et pour protéger les droits de ceux qui veulent des oins sans drogue .  En misant sur ce même thème, d’origine médicamenteuse démence: un crime parfait présente une analyse méthodique des données scientifiques et épidémiologiques qui confirme les  médicaments psychotropes comme une cause de lésions cérébrales et de décès prématurés. Espérons que ces publications seront utilisées par les profanes, les cliniciens, les avocats et les décideurs politiques à améliorer la qualité et l’intégrité des soins de santé, et de sauvegarder le droit fondamental de tous les patients pour éviter des lésions corporelles injustifiée – en particulier, lorsque ce dommage survient dans le forme de désinformation, frauduleux, et / ou coercitives (involontaire) de soins médicaux
.
pharmageddon : l'hisoire d'une tragedien par le prof david Healy
les antidépresseurs - maintenant les médicaments les plus couramment prescrits pendant la grossesse - alors même que les preuves s'accumulent que ces médicaments provoquent des défauts de naissance, le double du taux de fausses couches, et causer un handicap mental chez les enfants nés de mères qui ont été les prendre.
L'espérance de vie aux Etats-Unis, le pays qui consomme le plus de la dernière des médicaments vitaux est en baisse rapide par rapport au reste du monde. Pour les maladies comme la schizophrénie, nous faisons maintenant 10 fois pire en termes d'espérance de vie que nous l'étions il ya 100 ans.
 
"Or les médicaments sont aussi des substances dangereuses, à manier avec précaution. Il y a bien sûr les scandales récents qui ont secoué la France. L’affaire du Mediator n’est nullement une exception, elle est plutôt la règle : on assiste depuis une vingtaine d’années à une avalanche de scandales pharmaceutiques à travers le monde, pour la plupart bien plus graves que celui du Mediator et impliquant quasiment tous les grands laboratoires mondiaux. Étrangement, ces affaires retentissantes n’ont pratiquement pas eu d’écho en France. Sans doute a-t-on considéré qu’il s’agissait de problèmes qui ne nous concernaient pas, un peu comme le fameux nuage de Tchernobyl. Pourtant, les entreprises impliquées sont des multinationales implantées sur notre territoire comme sur le reste de la planète et leurs médicaments étaient (ou sont encore) commercialisés également en France. À l’ère de la mondialisation, les molécules circulent aussi librement que le pétrole ou les courriels."...
On ne peut plus dire qu’il s’agit de cas isolés de corruption , de quelques « méchants » qu’il suffirait de mettre en prison. Les experts, les scientifiques, les médecins, les politiciens, tous ces gens font simplement leur travail – ils sont même, dans leur grande majorité, bienveillants et de bonne foi. Ce que révèlent les scandales, par leur répétition même, c’est justement cela : la banalité du mal pharmaceutique, son caractère systémique, industriel. Il y a quelque chose de pourri au royaume de Médecine , comme il est dit dans Hamlet. Nous le sentons tous obscurément, mais nous hésitons à nous l’avouer. Nous voulons continuer à croire que la médecine est « basée sur des preuves », comme on nous le répète tout le temps, que nos médecins sont vigilants et bien informés, que les agences sanitaires ne permettront plus qu’on nous vende des médicaments inutiles et dangereux. Nous voulons continuer à croire en la médecine, car elle a été porteuse depuis la révolution thérapeutique de la fin du XIXe de tous nos espoirs en une vie longue et sans douleur. Mais cette médecine que nous avons connue n’existe plus.
Comme on va le lire dans ce livre, les « preuves » sur lesquelles on se fonde pour nous prescrire des médicaments sont couramment biaisées. Les risques sont cachés par les laboratoires . Les médecins reçoivent leur formation et leurs informations de l’industrie pharmaceutique. Les agences sanitaires approuvent de façon désinvolte des médicaments totalement inefficaces, tout en protégeant le « secret commercial » des données négatives fournies par les firmes. À tous les niveaux, le profit des industries passe AVANT l’intérêt des patients.
 
Effets secondaires - LA MORT, Sans corruption pas de médicaments (prozac)
le livre ecrit par John Virapen devoile la corruption pour mise sur marché de médicaments qui vous tuent
« Ils (l’ industrie pharmaceutique) vous vendent des médicaments dangereux pour gagner de l’argent. Rien d’autre. Si vous pensez que l’ industrie harmaceutique met des médicaments sur le marché pour vous aider – vous vous trompez lourdement! »
 
Peu de temps après la naissance de sa fille Rebecca Beddoe a été diagnostiqué avec la dépression post-natale. Deux ans plus tard, elle prenait six médicaments différents, y compris le lithium, un tranquillisant, un antipsychotique, et les antidépresseurs. Elle avait été diagnostiqué avec un trouble bipolaire; donné la thérapie de chocs électriques; fait de nombreuses tentatives sur sa vie; et a été tour à tour maniaque et consommée par le désespoir paralysant au cours de laquelle elle pouvait à peine bouger. Elle avait une fille de deux ans qu’elle connaissait à peine et d’une mère et partenaire qui étaient à la fin de leurs esprits, incapables de reconnaître la femme autrefois ambitieux, dynamique et très réussi qu’ils aimaient.
 
Pourquoi et comment arrêter de prendre des médicaments psychiatriques
 
Dans ce récent ouvrage révolutionnaire, Peter C. Gotzsche lève le voile sur les comportements frauduleux de l’industrie pharmaceutique dans les domaines de la recherche et de la commercialisation et sur son mépris moralement répugnant pour la vie humaine. L’auteur établit des rapprochements convaincants entre l’industrie pharmaceutique et l’industrie du tabac et révèle l’extraordinaire vérité derrière les efforts déployés pour semer la confusion et détourner l’attention du public et des politiciens. Il s’appuie sur des données probantes et traite de manière détaillée de l’extraordinaire défaillance du système causée par le crime généralisé, la corruption et l’inefficacité de la réglementation pharmaceutique – une réglementation qui, selon lui, doit être radicalement transformée. « Si nous prenons autant de médicaments, c’est principalement parce que les compagnies pharmaceutiques ne vendent pas des médicaments, mais des mensonges à leur sujet. C’est ce qui fait que les médicaments sont si différents du reste… Tout ce que nous savons sur leur compte, c’est ce que les compagnies ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins… Les patients ont confiance dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long sur les maladies et la physiologie et la psychologie humaines, en connaissent très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de toutes pièces par l’industrie pharmaceutique… Si vous ne croyez pas que le système est hors de contrôle, je vous invite à m’écrire pour m’expliquer pourquoi les médicaments sont la troisième cause de mortalité… Si une épidémie provoquée par une nouvelle bactérie ou un nouveau virus avait fait autant de victimes – ou si elle avait même causé un centième seulement des décès associés aux effets secondaires des médicaments –, nous aurions tout fait pour la contenir.
 
Corruption systématique: L’essentiel de l’ouvrage de Peter est consacré à la mise en valeur du fait que l’industrie pharmaceutique a systématiquement corrompu la science en amplifiant les bénéfices et en minimisant les méfaits de ses médicaments. En tant qu’épidémiologiste, ses énormes connaissances et sa passion du détail qui en ont fait un leader mondial dans la critique des études cliniques, Peter est ici sur un terrain très solide. Son nom s’ajoute à celui de nombreux autres, y compris d’anciens éditeurs du New England Journal of Medicine qui ont dénoncé cette corruption. Il montre aussi comment l’industrie a acheté des médecins, des universitaires, des revues, des organismes professionnels, des associations de patients, des départements universitaires, des journalistes, des organismes de régulation, et des politiciens. Ce sont les méthodes mêmes de la mafia.
Le livre ne permet pas aux médecins ni aux universitaires d’éviter le blâme. En effet, on pourrait faire valoir que les compagnies pharmaceutiques font ce qu’on attend d’elles pour maximaliser les rendements financiers des actionnaires, mais les médecins et les universitaires sont censés avoir une vocation plus élevée.
Les lois qui obligent les entreprises à déclarer les sommes qu’elles payent aux médecins montrent que de très nombreux médecins sont redevables à l’industrie du médicament, et que beaucoup reçoivent des sommes d’argent pour conseiller les entreprises ou pour donner des conférences en leur nom. Il est difficile d’échapper à la conclusion que ces « leaders d’opinion » sont achetés. Ce sont les « mercenaires » de l’industrie.
Et comme avec la mafia, malheur à quiconque dénonce ou apporte des preuves qui ne sont pas favorables à l’industrie. ....Il n’est donc pas tout à fait fantaisiste de comparer l’industrie du médicament à la mafia...
 
Les antidépresseurs de la famille du Prozac peuvent-ils provoquer les mêmes effets secondaires que le Mediator sur le coeur et les poumons? [...] Un pharmacologue de l’Inserm nous avoue ne pas avoir de données de pharmacovigilance pouvant indiquer des effets secondaires similaires, mais il nous confie que les deux médicaments ont les mêmes mécanismes. Il était donc, selon lui, absurde de prescrire du Mediator à quelqu’un qui prenait du Prozac car les doses ne pouvaient que se cumuler. Le site de la pharmacovigilance européenne révèle que des nouveau-nés dont les mères ont pris du Prozac développent la même maladie que les patients ayant absorbé du Mediator ou de l’Isoméride: l’hypertension artérielle pulmonaire.
L’Agence européenne du médicament se contente toutefois de conseiller aux mères de signaler à leur sage-femme qu’elles prennent un ISRS [inhibiteurs sélectifs de la recapture de sérotonine: classe d'antidépresseurs de type Prozac]. L’Agence estime que le Prozac multiplie par deux le risque de malformation cardiaque chez le nouveau-né. Au lieu de déconseiller formellement la molécule aux femmes enceintes, elle leur suggère simplement d’en parler à leur médecin qui décidera de la suite du traitement. L’Agence ajoute: « Le mécanisme est inconnu. »
 
Les médicaments sont testés par les gens qui les fabriquent, dans des essai cliniques mal conçus menés sur un petit nombre de patients non-représentatifs, et analysés en utilisant des techniques qui sont biaisées, de manière à exagérer les bienfaits des traitements. C’est sans surprise que ces études produisent des résultats qui favorisent le produit testé. Quand les essais cliniques ne donnent pas les résultats escomptés, les données sont cachées des médecins et des patients ce qui laisse une image distordue de la réalité. Ces faits distordus sont communiqués de manière biaisée par des régulateurs et des éditeurs de journaux scientifiques qui sont en conflit d’intérêts, tout comme les associations de patients et les universités. Le résultat est que dans la plupart des cas, nous n’avons aucune idée du traitement qui est le plus efficace.
Des études cliniques biaisées
Les pharmas font souvent plusieurs séries de tests, mais excluent les séries dont les résultats ne sont pas positifs. Donc, si dix séries de tests ont été effectuées, il se peut que l’étude publiée et soumise aux régulateurs ne présente les résultats que de trois ou quatre d’entre elles. Par exemple, pour le reboxetine, sept séries de tests ont été faites, mais seulement une a été rendue publique et publiée dans un journal académique. Les six autres sont demeurées dans l’ombre, inaccessible, même si leurs résultats ne montraient aucune amélioration face au placebo.
Les conséquences négatives des « données manquantes » ne s’arrêtent pas à l’évaluation de l’efficacité ; elles concernent aussi la sécurité des patients. Dans les années 1980, un médicament contre l’arythmie cardiaque, le lorcainide, fut testé auprès d’une centaine d’hommes ayant subi une attaque cardiaque. Le taux de décès fut 9 fois supérieur chez les candidat ayant pris lorcainide que ceux qui ont pris le placebo. L’étude ne fut jamais publiée et les résultats sombrèrent dans l’oubli. Pourtant, à la même époque, les médecins ont commencé à systématiquement prescrire des médicaments anti-arythmie aux gens ayant subi une attaque cardiaque, par mesure de prévention, sans savoir qu’une étude avait démontré que c’était dangereux. Résultat : environ 100.000 personnes sont mortes avant que l’on ne se rende compte que c’était une mauvaise idée. Ces morts auraient pu être évitées si l’étude sur lorcainide avait été publiée.
Il y a seulement la moitié des résultats d’essais cliniques qui sont publiés, et celles dont les résultats sont négatifs ont deux fois plus de chances de ne pas être publiées. Conséquemment, les informations disponibles aux médecins font en sorte de constamment surestimer les bienfaits des médicaments. Ainsi, comme les médecins sont maintenu dans l’ignorance, les patients sont exposés à des traitements inférieurs, inefficaces, non-nécessaires, plus dispendieux et/ou plus risqués, voire dangereux.

tous fou ? de jean claude Saint-Onge
Une personne en deuil souffrirait de « dépression majeure » si elle n’arrive pas à surmonter son chagrin après deux semaines. Une personne très timide serait atteinte de « phobie sociale » et un enfant qui conteste les adultes et les règles, serait taxé de « trouble oppositionnel avec provocation». Sommes-nous tous devenus fous ? En 60 ans, le nombre de troubles mentaux répertoriés dans le DSM, la « bible » des psychiatres, est passé de 60 à plus de 400 alors que la consommation de psychotropes a augmenté de 4 800 % aux États-Unis au cours des 26 dernières années. Or, cette épidémie de « maladies mentales » est très largement fabriquée, nous explique J.-Claude St-Onge dans cet essai sur l’influence démesurée de l’industrie pharmaceutique sur la psychiatrie.

on apprend que tout médicament comporte des risques, qu'une étude effectuée au Québec a révélé que 52 % des prescriptions par ordonnance sont risquées ou dangereuses
  L’histoire racontée dans Mad in America va surprendre beaucoup de lecteurs. Dans sa revue de la littérature scientifique, le livre révèle que les études des résultats à long terme des antipsychotiques ont régulièrement montré que les médicaments ont augmenté la probabilité que les personnes diagnostiquées avec la schizophrénie deviennent des malades chroniques. Le livre examine aussi la commercialisation des nouveaux médicaments antipsychotiques atypiques dans les années 1990, et découvre la fraude scientifique au cœur de cette entreprise

mensonges et vérités de diana Kircsh
extrait : "voila un exemple flagrant d'une manipulation des statistiques. La plupart des gens ne réalisent pas que l'augmentation de la durée moyenne de vie est surtout le résultat de la réduction du taux de mortalité infantile. Il y a cent ans, beaucoup d'enfants mouraient à la naissance et...Si cette réduction de taux en mortalité infantile est enlevée de l'équation, l'espérance de vie a seulement augmenté de 3,7  années depuis ces derniers 100 ans !"

Les dérives de l’industrie de la santé Antidépresseurs : Dissimulation des effets indésirables Risque de tentatives de suicide et efficacité modeste Un antidépresseur en cinq minutes : la dépression au Canada De nouvelles preuves que les antidépresseurs accroissent le risque de suicide
  La médecine moderne est gérée par une oligarchie restreinte mais puissante issue des grands groupes chimico-pharmaceutiques qui parvient à conditionner les choix des gouvernements, des politiques et des institutions de la santé grâce à de prodigieux moyens
  "Si on pouvait autrefois espérer trouver un jour un traitement pour chaque maladie, nous explique Jörg Blech, les marchands de la santé, aujourd’hui plus que jamais, semblent plutôt vouloir trouver une maladie pour chaque molécule fabriquée. En manipulant

How to Stop Your Doctor Killing You (COMMENT EMPECHER VOTRE DOCTEUR DE VOUS TUER)
« La personne qui présente la plus grande probabilité de vous tuer n’est pas un parent ou un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui risque très probablement de vous tuer est votre docteur.


Les dérives de l'industrie de la santé
En écrivant L’envers de la pilule, J.-Claude St-Onge a ouvert une véritable boîte de Pandore. Tant de choses ne tournent pas rond dans notre système de santé, l’industrie pharmaceutique et nos rapports à la médecine! L’auteur dévoile dans ce nouvel ouvrage le fruit de ses recherches, une mine d’informations fouillées, claires et souvent choquantes. Par exemple :
les raisons pour lesquelles tant d’essais cliniques ne sont pas fiables;
la démonstration que le fabricant du Vioxx devait savoir que son médicament était dangereux pour le cœur;
la portion exagérée du coût des médicaments qui est due au marketing;
de nouvelles preuves que les antidépresseurs poussent certains utilisateurs au suicide et qu’ils n’ont pas l’efficacité qu’on leur prête;
la démonstration qu’une autre politique du médicament est possible et peut sauver des vies et des milliards de dollars;
la façon dont on invente de nouvelles maladies pour nous abonner aux pilules;
comment les agences de contrôle jouent à la roulette russe avec nos vies;
la constatation que le virus de la grippe aviaire est connu depuis au moins un demi-siècle et qu’il n’a pourtant jamais provoqué la pandémie si redoutée;
et une foule d’autres renseignements qui pourraient vous protéger contre les dérives


Guide critique des médicaments de l’âme du professeur David Cohen
ANTIDEPRESSEUR ; LITHIUM ; MALADE ; MEDICAMENT ; MENTAL ; NEUROLEPTIQUE ; PSYCHOPHARMACOLOGIE ; PSYCHOTROPE ; SEVRAGE ; SOMNIFERE ; STIMULANT ; TRANQUILLISANT ; USAGE ;

« Certains des pires trafiquants de drogue de la nation ne sont pas dans les coins de rue, ils occupent de très bonnes place au sein d’entreprises »
 
Peu de temps après la naissance de sa fille Rebecca Beddoe a été diagnostiqué avec la dépression post-natale. Deux ans plus tard, elle prenait six médicaments différents, y compris le lithium, un tranquillisant, un antipsychotique, et les antidépresseurs. Elle avait été diagnostiqué avec un trouble bipolaire; donné la thérapie de chocs électriques; fait de nombreuses tentatives sur sa vie; et a été tour à tour maniaque et consommée par le désespoir paralysant au cours de laquelle elle pouvait à peine bouger. Elle avait une fille de deux ans qu’elle connaissait à peine et d’une mère et partenaire qui étaient à la fin de leurs esprits, incapables de reconnaître la femme autrefois ambitieux, dynamique et très réussi qu’ils aimaient.
 
Mais il ne fait aucun doute que le médecin induit la maladie est aujourd’hui l’un des (sinon la principale cause) de la maladie dans la plupart des soi-disant pays «développés»
 
je considère le médecin qui pratique la médecine moderne comme le plus grand danger pour la santé
 » les médecins sont malhonnêtes, corrompus, immoraux, malades, peu éduqués et carrément plus stupides que le reste de la société. Lorsque je m’apprête à rencontrer un médecin, je me vois devant une personne bornée… »
 
C’est l’histoire d’un père sur le tueur de sa fille, la multimilliardaire industrie pharmaceutique. Lisez le prochain paragraphe à haute voix, cela vous donnera le ton de l’ouvrage : « Vanessa s’élance en direction des escaliers avant de retomber brusquement en arrière. Sa tête percute le plancher avec un bruit sourd, comme si une main géante invisible l’y avait poussée. Elle était toute molle, muette, inerte et pâle. Un terrible pressentiment m’a envahi. J’ai placé mon index sur sa carotide. Je ne sentais aucun pouls, aucun battement. Rien. Les secours arrivent : – Prenait-elle des médicaments? – Elle prend du Prepulsid™ (cisapride) pour apaiser ses ballonnements – Autre chose? – Non »[1] Ce père a vécu le pire cauchemar de tout parent : voir sa fille de 16 ans mourir subitement dans le salon de la maison familiale. L’ouvrage relate son enquête menée dans les arcanes de Santé Canada (Agence canadienne du médicament), d’une mondiale du médicament et de l’establishment médical.
 
Suicide et la mort peuvent se cacher Dans chaque pilule ISRS Je suis Ann Blake Tracy, Ph.D., chef de la Coalition internationale pour la sensibilisation aux drogues. Je suis l’auteur de Prozac: panacée ou Pandora? – Notre cauchemar de la sérotonine et ont témoigné dans des affaires judiciaires impliquant des antidépresseurs pendant 12 ans 1/2. Les 15 dernières années de ma vie ont été consacrées à plein temps à des recherches et à écrire sur les antidépresseurs ISRS. La recherche sur la sérotonine a été clair dès le début que la chose la plus dommageable qui pourrait être fait pour le système de sérotonine serait porter atteinte à sa capacité à métaboliser la sérotonine. Pourtant, c’est exactement ce que les antidépresseurs ISRS exercent leurs effets. Pour la recherche des décennies a montré que le métabolisme de la sérotonine atteinte produira migraines, bouffées de chaleur, douleurs autour du coeur, difficultés respiratoires, une aggravation des plaintes bronchiques, la tension et l’anxiété qui apparaissent de nulle part, la dépression, le suicide – en particulier le suicide très violent, l’hostilité , les crimes violents, les incendies criminels, la toxicomanie, la psychose, la manie, la maladie organique du cerveau, l’autisme, l’anorexie, la conduite dangereuse, la maladie d’Alzheimer, un comportement impulsif sans se soucier de la peine, et le comportement argumentatif. Comment on jamais pensé que ce serait «thérapeutique» pour induire chimiquement ces réactions, cela me dépasse. Pourtant, ces réactions sont exactement ce dont nous avons été témoins dans notre société au cours de la dernière décennie et demie en raison de l’utilisation généralisée de ces médicaments. En fait, nous avons même un nouveau vocabulaire à la suite avec des termes tels que «rage au volant», «suicide par policier », « assassiner / suicide», «va», «syndrome du faux souvenir, » postal « école de tir »,  » bi-polaire »- chaque troisième personne que vous rencontrerez plus – avec des taux faramineux de diabète de type antidépresseur induit et l’hypoglycémie. Vous souvenez-vous il ya deux décennies, quand les gens déprimés utilisés pour s’éclipser discrètement de se suicider plutôt que de tuer tout le monde autour d’eux et puis eux-mêmes comme ils le font tout en prenant des antidépresseurs ISRS? Une étude de l’Université de Californie du Sud en 1996 a porté sur un groupe de souris mutantes dans une expérience qui a terriblement mal tourné. Ces souris transgéniques étaient les créatures les plus violents qu’ils avaient jamais vu. Ils sont nés manque la MAO-A enzyme qui métabolise la sérotonine. À la suite de leurs cerveaux étaient inondés de sérotonine. Cet excès de sérotonine est ce que les chercheurs ont déterminé était la cause de cette violence extrême. Les antidépresseurs produisent le même résultat final car ils inhibent le métabolisme de la sérotonine. Ce sont des médicaments extrêmement dangereux qui doivent être interdits en tant que médicaments similaires ont été interdits dans le passé. Comme société, nous pensions jadis LSD et le PCP comme des médicaments miracles avec de grandes marges de sécurité chez l’homme. Nous n’avons jamais vu médicaments si semblables à ceux du LSD et le PCP que ces antidépresseurs ISRS. Tous ces médicaments produisent rêver pendant les périodes d’éveil. On croit que les niveaux de sérotonine élevés sur stimulent le tronc cérébral qui entraîne un manque de paralysie musculaire pendant le sommeil permettant ainsi au patient d’agir sur les rêves ou les cauchemars qu’ils ont. Le monde a été témoin clairement dans l’assassiner-suicide Zoloft induite par le comédien Phil Hartman et son épouse, Brynn. Connecticut a vu le cas Prozac induite par Kelly Soie il ya plusieurs années. Cette jeune mère a attaqué sa famille avec un couteau, puis réglez la maison en feu tuant tous mais sa fille de 8 ans qui a couru chez les voisins. Comme elle se tenait saignements et crier à l’aide, elle a expliqué: «Au secours! Ma maman est un cauchemar! » Sur la bouche des enfants, nous allons comprendre ces cauchemars pour ce qu’ils sont. Elle a compris que c’était quelque chose que sa mère ferait que dans un cauchemar, jamais dans la réalité. Ceci est connu comme un trouble du comportement en sommeil paradoxal. Dans le passé, il était surtout connu comme un état ​​de sevrage, mais la plus grande installation de sommeil dans le pays a signalé que 86% des cas, ils sont diagnostiquent sont les patients sous antidépresseurs. Parce que cela a été connu dans le passé comme condition manifestant principalement par le retrait de la drogue, vous devriez voir comment l’état dangereux de retrait de ces médicaments se révélera être. C’est pourquoi il est si important de s’assurer que les patients sont sevrés très lentement afin d’éviter tout risque d’entrer dans un état ​​de sevrage.
C’est l’histoire d’un père sur le tueur de sa fille, la multimilliardaire industrie pharmaceutique. Lisez le prochain paragraphe à haute voix, cela vous donnera le ton de l’ouvrage : « Vanessa s’élance en direction des escaliers avant de retomber brusquement en arrière. Sa tête percute le plancher avec un bruit sourd, comme si une main géante invisible l’y avait poussée. Elle était toute molle, muette, inerte et pâle. Un terrible pressentiment m’a envahi. J’ai placé mon index sur sa carotide. Je ne sentais aucun pouls, aucun battement. Rien. Les secours arrivent : – Prenait-elle des médicaments? – Elle prend du Prepulsid™ (cisapride) pour apaiser ses ballonnements – Autre chose? – Non »[1] Ce père a vécu le pire cauchemar de tout parent : voir sa fille de 16 ans mourir subitement dans le salon de la maison familiale. L’ouvrage relate son enquête menée dans les arcanes de Santé Canada (Agence canadienne du médicament), d’une mondiale du médicament et de l’establishment médical.
 
« En France, il y a quatre fois plus de décès pa r an liés à la prise d’un médicament que de morts sur la route. Selon la Sécurité routiè re, 3268 personnes sont mortes en 2013 sur les routes françaises. En 2011, le député Roland Mu zeau a déclaré à l’Assemblée nationale, dans le cadre de la mission sur le Mediator : “O n estime dans notre pays à 150 000 le nombre d’hospitalisations annuelles liées à des accidents médicamenteux et de 13 à 18 000 le nombre de morts provoquées par des médicaments”. En 2007, Delphine, ma grande sœur, a été victim e d’un syndrome de Lyell. Les syndromes de Lyell et Stevens-Johnson sont dans 90 % des cas une réaction médicamenteuse. Elle touche 130 à 150 malades en France par an. Un cas sur quatre est mortel*. Peu de jours avant la déclaration de la mala die, Delphine avait pris de l’Ibuprofène pour calmer une simple migraine. Cette molécule co nstitue la base de nombreux médicaments. La plupart sont en vente libre dans les pharmaci es. Commercialisé sous diverses appellations, c’est l’un des médicaments le plus consommés en France. En réalité, il n’existe quasi aucun médicament sans danger. Pourtant, le s victimes d’accidents médicamenteux manquent de reconnaissance et pe inent à prouver l’origine de leur maladie. Motivée par la volonté d’apporter mon soutien à ma sœur, j’ai d’abord écrit ce texte dans un cadre privé, je souhaiterais aujourd’hui que ce témoignage aide à fair e évoluer les mentalités et incite nos législateurs à mieux prot éger les victimes d’effets secondaires. »
Quelques livres
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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 02:14
« on estime que d’ici 2020, aux USA, 50 % des cancers seront induits par les médicaments ou les radiations médicales, la médecine devenant ainsi, bientôt, la principale cause de cancer »
 
Mais « Les différents pays européens ne remontent qu’1 à 10% des cas. » soit environ 4 000 000 de morts par an en Europe par les médicaments (si 5% sont déclarés)
 
Les effets indésirables graves (RMIS) sont une cause majeure de morbidité et de mortalité dans le monde entier. Certains EIG peuvent être prévisibles, sur la base pharmacodynamiques et pharmacocinétiques…..L’incidence globale des EIG chez les patients hospitalisés aux États-Unis a été estimé à 06/02 à 06/07% et l’incidence des effets indésirables mortels est estimée à 0,15-0,3% (REF. 2 ). Cela se traduit par plus de 2 millions EIG estimés chez les patients hospitalisés chaque année, avec plus de 100.000 morts, ce qui rend ces réactions comme une des causes ies plus mportantes de décès aux États-Unis. Des études en Europe et en Australie ont donné des estimations semblables 3 . Le fardeau des coûts résultant est énorme, ce qui représente des dizaines de milliards de dollars, et a un impact sur les deux l’industrie pharmaceutique internationale des soins de santé et  .
 
« Maintenant, ils ont franchi une étape supplémentaire et publié une estimation selon laquelle la même orientation peut avoir conduit à la mort de jusqu’à 800 000 personnes en Europe au cours des cinq dernières années.
 
Antidépresseurs, somnifères, neuroleptiques: 500 000 décès par année chez les plus de 65 ans en occident
Les bénéfices sont surestimés et les effets indésirables minimisés, dit-il, parce que la plupart des essais randomisés sont biaisés, ne sont pas réalisés à l’aveugle de façon appropriée, n’évaluent pas complètement les effets des médicaments et les décès sont sous-déclarés, dit-il.
 
L’antidiabétique Avandia qui vient d’être retiré du marché est suspecté de source officielle d’avoir causé 83 000 infarctus du myocarde aux Etats-Unis. Pourquoi la presse française n’a-t-elle pas repris cette affaire dans le contexte de celle du Mediator qui aurait fait entre 500 et 2000 morts ? Pourquoi Xavier Bertrand s’est-il montré si discret vis-à-vis de GlaxoSmithKline ?
 
diabete ,AVANDIA® : 83.000 accidents cardiaques aux USA, une agence du médicament en coma dépassé
 
 Il s’agit d’un excellent compte rendu des effets de permettre la commercialisation des Tamnbocor (flécaïnide) comme un anti-arythmique issu des paramètres intermédiaires « de substitution ». Plus tard, il y avait reconnaissance qu’en fait le médicament était associée à des taux accrus de mort cardiaque
 
lorcainide : Dans les années 1980, un médicament contre l’arythmie cardiaque, le lorcainide, fut testé auprès d’une centaine d’hommes ayant subi une attaque cardiaque. Le taux de décès fut 9 fois supérieur chez les candidat ayant pris lorcainide que ceux qui ont pris le placebo. L’étude ne fut jamais publiée et les résultats sombrèrent dans l’oubli.
Pourtant, à la même époque, les médecins ont commencé à systématiquement prescrire des médicaments anti-arythmie aux gens ayant subi une attaque cardiaque, par mesure de prévention, sans savoir qu’une étude avait démontré que c’était dangereux. Résultat : environ 100.000 personnes sont mortes avant que l’on ne se rende compte que c’était une mauvaise idée. Ces morts auraient pu être évitées si l’étude sur lorcainide avait été publiée.
Il y a seulement la moitié des résultats d’essais cliniques qui sont publiés, et celles dont les résultats sont négatifs ont deux fois plus de chances de ne pas être publiées. Conséquemment, les informations disponibles aux médecins font en sorte de constamment surestimer les bienfaits des médicaments. Ainsi, comme les médecins sont maintenu dans l’ignorance, les patients sont exposés à des traitements inférieurs, inefficaces, non-nécessaires, plus dispendieux et/ou plus risqués, voire dangereux.
 
les neuroleptiques atypiques comme le Zyprexa tuent 62000 personnes par an dans les utilisations non approuvées :
Le Dr David Graham (FDA), qui a sonné l’alarme sur le Vioxx, a déclaré au Congrès que les neuroleptiques atypiques comme Zyprexa tuent quelques 62000 personnes par an dans les utilisations non approuvées
 
Le spray pour l’asthme Isoproterenol, commercialisé sous le nom de Isuprel, a tué durant les années ’60 environ 3500 patients. Cependant, il continue d’être commercialisé dans notre pays et il est recommandé pour différentes affections du coeur.
 
recommandé pour les problèmes digestifs, a provoqué un scandale mondial : plus de 30.000 personnes ont été rendues aveugles ou ont subi des paralysies des jambes suite à son utilisation. Ce médicament a provoqué aussi de nombreux décès (plus de 1000 seulement au Japon)
 
Distilbène : Les experts évaluent à 160 000 le nombre d’enfants exposés pendant la grossesse.
Le D.E.S. a été prescrit depuis 1948 à des millions de femmes dans le monde. Interdit en 1971 aux USA, il a été administré en France à des centaines de milliers de femmes enceintes jusqu’en 1977, avec un pic de consommation entre les années 1968 et 1971.
 
Distilbène : « génocide par mères interposées »
En France, 80 000 filles D.E.S et 80 000 garçons.
 
des milliers de morts et des dizaines de milliers de handicapés…mais toujours en vente.
 
Thalidomide / contergan : il a été à l’origine de la naissance de 10 000 à 20 000 nourrissons atteints de graves malformations
 
Thalidomide : Près de 40 % des victimes de la thalidomide seront décédées avant leur premier anniversaire.
 
60 000 patients ont intenté des procès pour avoir subi des effets cardiovasculaires liés à la prise de dexfenfluramine (sous le nom de Redux®) et la fenfluramine (sous le nom de Pondimin®)[102], par l’intermédiaire d’un recours collectif : 3,75 milliards de dollars d’indemnisation auraient été versés à une association regroupant 150000 victimes afin d’éviter un procès[103]. C’est American Home Products qui, le 8 octobre 1999, conclut un accord pour indemniser les victimes ; les indemnités se montaient à 3.5 milliards de dollars[104].
 
Commercialisé en France en 1985 et 1997.
7 millions de Français en auraient pris.
Coupe faim censé réguler le poids des obèses et surtout faire perdre quelques kilos à de nombreuses personnes qui n’en n’avaient pas forcément besoin.
Découverte de complications de type hypertension artérielle pulmonaire en 1995 et d’anomalie des valvules cardiaques en juillet 1997.
 
Médiator / benfluorex
2000 morts depuis 1976, date de l’autorisation de mise sur le marché jusqu’au mois de juillet 2010, date de son retrait définitif, soit une moyenne de 60 victimes par an.
 
Vioxx : 160 000 victimes de crises cardiaques et attaques cérébrales, 40 000 morts aux États-Unis et au moins 60 000 dans le monde à la date de 2011, le scandale du Vioxx a révélé qu’il n’était pas le fruit du hasard mais bien la conséquence d’un système opaque d’autorisation de mise sur le marché
 
Merck estima les événements thrombotiques et il y avait 1,5 fois plus de cas d’infarctus du myocarde, de mort subite cardiaque ou d’AVC sous rofecoxib que sous placebo pour 100 patients traités (1). Plus de 80 millions de patients ont été traités avec rofecoxib et, puisque 10% des événements de ce type sont mortels, une estimation brute est que le rofecoxib a tué environ 120.000 personnes
.
Le celebrex aurait tué 75 000 personnes
selon le livre : remèdes mortels et crime organisé du professeur peter Gotzsche
 
Le médicament est l’un du groupe controversé d’antibiotiques, y compris Levaquin, Cipro, Avelox et d’autres fluoroquinolones. Public Citizen a demandé à la FDA en 1996 et de nouveau en 2006, d’émettre des avertissements de boîte noire pour rupture du tendon et la tendinite..Si l’ avertissements avaient été émis, le nombre de morts de Levaquin- réputés de plus de 5000et des dizaines de milliers de personnes qui ont été affaiblis par des maladies mortelles aurait probablement été évitée
 
le nombre de morts attribuables au Mediator s'établissait entre 1000 et 2 000.

Lariam (antipalu) : Robert Bales quitté la base dans le milieu de la nuit et auraient tué 17 civils afghans (y compris les enfants) dans le sang froid et blessé 6 autres
Épisodes psychotiques sur Lariam ne sont pas rares.  Rapports aller en profondeur dans l'histoire du médicament ( qui est intéressant ), et les problèmes ont même été observés dans des contextes militaires.  Il a été signalé que Larium peut avoir causé quatre hommes militaires à tuer leurs épouses à l'été 2008. Meurtres au Royaume-Uni en 2002 ont également été associée à Lariam. Même les groupes d'anciens combattants ont pris position contre la drogue
 
Interféron : effets secondaires graves
suicide, troubles psychiatriques, morts subites, dépression, idées suicidaires...
 
"les docteurs MENGELE de la SS ne sont pas loin de réssusciter...
 
Les médicaments qui tuent
La cérivastatine (anti-cholestérol), aurait fait 7 577 décès dans le monde
 
MAMA.ORG a une tolérance zéro pour l'utilisation de ce médicament !
 
Les enfants meurent de médicaments pour le TDAH
 
Le but de ce site est pour sensibiliser sur la façon dont il est facile de surdose de Oxycontin
 
Le but de ce site est pour sensibiliser sur la façon dont il est facile de surdose de Oxycontin
 
Isoproterenol a tué durant les années '60 environ 3500 patients...
 
vidéo roaccutane
 

durogesic / fentanyl

Quelques autres pilules qui tuent
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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 02:09
exposé de plus de 4800 cas essentiellement criminels
 
Dans son intervention Healy offre un mise en accusation puissante concernant le suicide et la violence provoqué par médicaments psychiatriques.
 
lancer une enquête fédérale pour la relation entre les fusillades dans les écoles et les médicaments psychiatriques.
 
pétition
 
la campagne de kurt
 
Le site pour Mark Allen TAYLOR victime survivante de la fusillade de Columbine devenu militant, est détenu contre sa volonté dans un foyer de groupe et forcé de prendre des médicaments psychiatriques.
 
Les survivants et les familles des défunts ont poursuivi Eli Lily pour négligence dans le développement et la commercialisation du prozac et le procès a débuté en 1994. Un consortium d'avocats et une cour Indiana m'avait nommé comme expert médical et scientifique depuis plus de 100 poursuites en responsabilité de produits combinés contre Eli Lilly concernant la violence et le suicide causé par Prozac.
 
scholl shootings
 
«Environ neuf fusillades sur dix  dans les écoles et des fusillades de masse impliquent ces médicaments et on peut envisager alors qu’au moins une proportion significative de ces cas ont été causés par les médicaments »
 
a commencé 17 jours plus tôt quand il a été prescrit le médicament Prozac par un médecin généraliste (qui n'a pas pu effectuer tous les tests psychologiques). Peu de temps après avoir commencé à prendre son ordonnance Prozac, Kurt, un adolescent normalement sortant, est devenu retirée et déprimé.Il s'est battu avec son meilleur ami et délibérément écrasé son camion dans un mur de pierre. Ce fut, pour dire le moins, hors de caractère pour Kurt.
Malheureusement, seulement dix-sept jours après sa première dose de Prozac, Kurt a tiré et a tué son père, la seule personne qu'il aimait le plus au monde. Le tournage a été un choc complet et n'avait aucun sens pour quelqu'un qui connaissait Kurt et son père.
Il était clair que le Prozac avait causé, un changement radical violent Kurt. En dépit de ce fait, Eli Lilly & Co., le fabricant du Prozac, a affirmé que son médicament ne doit pas provoquer un comportement agressif.À la suite de cette demande et indépendamment du fait que Kurt n'avait aucun antécédent de violence avant le Prozac, il a été reconnu coupable du meurtre de son père et a été condamné à 22,5 à 60 ans de prison.
Enfin, en 2004, huit ans après la condamnation de Kurt, la Food and Drug Administration (FDA) a reconnu que les soi-disant antidépresseurs ISRS, y compris Prozac peut provoquer des comportements suicidaires et / ou violents en particulier chez les adolescents et les enfants. En outre, il a été révélé que Eli Lilly & Co. dissimulés données de 1988 qui reliaient Prozac à la violence. Forts de cette nouvelle preuve que nous espérons gagner Kurt d'un nouveau procès. Notre objectif est d'obtenir justice pour les deux Kurt et son père.
 
contre les violences a l'école induites par les antidépresseurs
 
Breggin affirme que médias de l'establishment "ignore les preuves scientifiques reliant médicaments psychiatriques et les comportements violents parce que la psychiatrie est la religion des grands médias, et ils ne veulent pas voir les dangers des drogues psychiatriques prescrits."
« La violence et les autres comportements potentiellement criminels causés par les médicaments sur ordonnance sont le secret le mieux gardé de la médecine », dit Healy dans un communiqué le mois dernier . "Jamais auparavant dans les domaines de la médecine et le droit ont-il eu tant d'événements avec des données tellement dissimulée et si peu de compétences spécialisées."
 
Le médicament fait ainsi l'objet d'une polémique scientifico-juridique depuis plusieurs années aux Etats-Unis, où de nombreux psychiatres l'accusent de déclencher des crises de violence et des passages à l'acte. Pas moins de 160 procès du même genre ont déjà été intentés contre Eli Lilly, mais aucun n'a pour l'instant abouti à la condamnation de la firme, qui n'hésite pas à "acheter" le silence des plaignants
 
Le suicide est désormais officiellement la cause numéro un des décès de soldat américain en service actif , avec trois fois plus de soldats meurent par suicide depuis 2001 que sont morts dans la guerre en Afghanistan
 
Quel est le lien ?
 
« Antidépresseurs : des placebos potentiellement mortels ? »
Plus de 2.000 suicides liés au Prozac ont été signalés jusqu’à l’automne 1999 à l’agence états-unienne du médicament (FDA). Ce risque était connu des laboratoires, et lors de procès intentés aux Etats-Unis à la firme GSK, on a appris l’occultation délibérée du risque suicidaire du Déroxat, majoré chez les enfants. Depuis, les antidépresseurs portent un « label noir » aux Etats-Unis et ne peuvent être prescrits en ville qu’aux personnes âgées de plus de 24 ans. En France, certaines estimations parlent de 3.000 à 4.000 suicides par an, liés aux antidépresseurs
 
Objectif: Examiner la relation entre les allèles variants des gènes CYP450 en 3 (CYP2D6, CYP2C9 et CYP2C19), des médicaments qui interagissent et akathisie chez les sujets visés à une pratique psychiatrie médico-légale à Sydney, en Australie

la folie des prescriptions et les tueries de masse

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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 02:08
Médication madness

 

Madness médicaments (2008)

Image
Médicaments Madness
Le rôle des médicaments psychiatriques dans les affaires de violence , le suicide et l' Assassinats
par Peter Breggin , M.D.

Maintenant, en format de poche !

 
Saint-Martin de presse 2008
  Médicaments Madness drame se lit comme un thriller médical, histoire véritable crime salle d'audience, et , mais il est fermement ancrée dans les dernières recherches scientifiques et des dizaines d'études de cas . La vie des enfants et des adultes dans ces histoires , ainsi que la vie de leurs familles et leurs victimes , ont été jetés dans la tourmente et parfois détruits par les effets imprévus des médicaments psychiatriques . Dans certains cas, notre société tout entière a été transformée par les conséquences tragiques .


De nombreuses catégories de médicaments psychiatriques peuvent provoquer des réactions potentiellement épouvantables .
Prozac , Paxil , Zoloft , Adderall , Ritalin , Concerta , Xanax , le lithium, le Zyprexa et d'autres médicaments utilisés en psychiatrie peut fasciner les patients en leur faisant croire qu'ils sont meilleurs lorsque trop souvent, ils sont de plus en plus mal . médicaments psychiatriques poussent certaines personnes dans la psychose , manie , dépression, suicide , Agitation, violence compulsive et la perte de maîtrise de soi , sans se rendre compte que les individus de leurs médicaments ont déformé leur façon de penser et de sentir .
   
Commandez-le maintenant !
   
Les médicaments pour tout, de dépression et d'anxiété pour le TDAH et l'insomnie sont prescrits en nombre alarmant à travers le pays , mais la «guérison» est souvent pire que la folie problem.Medication original est un regard fascinant , effrayant et spectaculaire le rôle que la psychiatrie médicaments ont joué dans une cinquantaine de cas de suicide , assassiner , et d'autres comportements violents, criminels , et bizarre .

En tant que psychiatre qui croit en détention les personnes responsables de leur conduite , le poids des preuves scientifiques et des années d' expérience clinique a finalement convaincu le Dr Breggin que les drogues psychiatriques causent souvent des individus à perdre leur jugement et leur capacité à contrôler leurs émotions et leurs actions . Médicaments Madness soulève et examine les questions entourant la responsabilité personnelle en cas de comportement semble entraînée par la drogue induit des effets indésirables et d'intoxication.

Dr. Breggin personnellement évalué le cas dans le livre dans son rôle en tant que psychiatre traitant , consultant ou un expert médical. Il a interviewé des survivants et des témoins , et a examiné médical complet , professionnel , éducatif et dossiers de la police . La grande majorité des individus mené une vie exemplaire et n'a pas commis d' actes criminels ou bizarres avant de prendre les médicaments psychiatriques .
 
Ce livre documente la façon dont la FDA , l'établissement médical et l'industrie pharmaceutique ont trop vendu la valeur des médicaments psychiatriques . Il sert une mise en garde au sujet de notre dépendance à l'égard des produits chimiques potentiellement dangereux psychoactives pour soulager nos problèmes émotionnels et offre une approche positive de la prise charge personnelle de nos vies .

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"les antidépresseurs et toutes les drogues psychiatriques provoquent de la violence"

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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 02:07

"L’une des plus célèbres victimes est le guitariste Jimi Hendrix, décédé le 18 septembre 1970, étouffé dans son propre vomissement, sans doute à la suite d'une overdose de barbituriques. Avant lui, le manager des Beatles Brian Epstein avait connu le même sort en 1967.

Marilyn Monroe aurait elle aussi trouvé la mort après une overdose de barbituriques ; là encore, le lien de cause à effet reste une probabilité et non une certitude. Elvis Presley, 42 ans, retrouvé mort dans sa salle de bains à Graceland le 16 aout 1977 aurait succombé à un mélange fatal de barbituriques. Alan Wilson, leader du groupe Canned Heat, est décédé le 3 septembre 1970 d'une overdose de barbituriques. Dalida, chanteuse française, s'est suicidée d'une surdose de barbituriques mélangés à de l'alcool dans la nuit du 2 au 3 mai 1987 dans sa maison de Montmartre, rue d'Orchampt à Paris. L'acteur Daniel Day Lewis, suite à la mort de son père, alors qu'il avait 15 ans, sera interné en hôpital psychiatrique à la suite d'une overdose de barbituriques. Chantal Sébire, une enseignante de 52 ans victime d'une tumeur au visage, a demandé l'euthanasie à l'État français; sa requête ayant été refusée dans un grand battage médiatique, elle a décidé de mettre fin à ses jours avec une surdose de barbituriques le 19 mars 2008."

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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 02:05

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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 02:04

When Mothers Kill: America's Serotonin Nightmare (SSRIs)
zoloft, déroxat / paxil...
Les drogues sérotoninérgiques tuent
protégez votre famille !

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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 02:02

En mémoire de la famille Roberts (Zoloft homicides / suicide antidepresseur ISRS, meurtre psychiatrique)
154 suicides
25 meurtres
157 tentatives de suicide
34 idées d'homicides
pour le zoloft seulement !

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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 02:01
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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 01:59
Les morts de GSK
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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 01:57
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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 01:53
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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 01:51

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Les médicaments psychiatriques sont beaucoup plus dangereux que vous ne l'avez jamais imaginé !

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"Les médicaments psychiatriques sont beaucoup plus dangereux que les drogues illégales"

Les effets bénéfiques des médicaments psychiatriques sont si minces, dit-il, qu’il serait possible d’arrêter l’utilisation actuelle presque complètement sans causer de dommages. Il recommande d’arrêter l’utilisation de tous les médicaments antidépresseurs ainsi que ceux du TDAH et de la démence, et de prescrire seulement une petite fraction des antipsychotiques et des benzodiazépines utilisés actuellement.
Les médicaments psychiatriques tuent 500 000 personnes par an chez les plus de 65 ans
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